Lucine, exposition collective avec le projet Menk à la galerie Popy Arvani, Paris

posted on 2023-11-07 10:41:20

Résidence en Arménie avec le projet Menk

posted on 2023-05-15 21:24:00

Réalisation de muraux dans le cadre de l´exposition immortelle, MO.CO, Montpellier

posted on 2023-03-05 18:09:00

Crédit photographique : Alois Aurelle

Immortelle, MO.CO, Montpellier, 10 mars au 7 mai 2023

posted on 2023-02-11 19:36:17

Vitalité de la jeune peinture figurative française
Immortelle propose un ambitieux panorama de la jeune peinture figurative française. Déployée pour la première fois sur l’ensemble des centres d’art, l’exposition s’organise en deux volets.

Au MO.CO., seront présentés des artistes emblématiques de la scène française, nés de 1970 au début des années 80. L’exposition généreuse, sensible, entend rendre hommage à la peinture, dans sa part physique, matiériste, érotique, romantique.

Au MO.CO. Panacée, la nouvelle génération du milieu des années 80 et 90 propose une vision plurielle de l’avenir de la peinture figurative à travers une revisitation des grands genres traditionnels mixés avec l’apport de la contemporanéité et d’enjeux conceptuels.

Les commissaires
Commissariat général : Numa Hambursin, directeur général MO.CO.
MO.CO. / co-commissaire invitée : Amélie Adamo
MO.CO. Panacée / co-commissaire : Anya Harrison, curator MO.CO.

Où ?

MO.CO. Panacée, 14 rue de l’Ecole de pharmacie, Montpellier
Du mercredi au dimanche, de 11h à 18h - entrée libre

MO.CO., 13 rue de la République, Montpellier
Du mardi au dimanche, de 11h à 18h – billetterie en ligne ou sur place

Artistes
MO.CO.

AGRINIER Thomas, AILLAUD Arthur, BARROT Ronan, BATAILLARD Marion, BAZIGNAN Pauline, BELGRAND Adrien, BELIN Murielle, BELYAT-GIUNTA Anya, BENCHAMMA Abdelkader, BENEYTON Julien, BERGER Céline, BERNINI Romain, BIZIEN Vincent, BOISADAN Mathieu, BOITARD Fabien, BOURDAREL Katia, BOUTLIS Alkis, BRESSON Guillaume, BRUNEAU Benjamin, CADIO Damien, CHARLET Marion, CHERKIT Mathieu, CIAVALDINI Sylvain, CLARKE Daniel, DALLÉAS-BOUZAR Dalila, DAVRINCHE Gaël, DESCOSSY Julien, DÉFOSSEZ Benjamin, DERENNE Grégory, DEROUBAIX Damien, DES MONSTIERS Julien, DRIEZ Raynald, DUBOIS Aurélie, FORSTNER Gregory, GOBART Yves, GROOM Orsten, GUINAMAND Cristine, GURRIERI Elsa, HAZELZET Thibault, De HEINZELIN Aurélie, HOFFMAN Karine, IC Hervé Georges, JAUNE Oda, JÉRÔME Sarah, KORICHI Youcef, LEGLISE Frédéric, LESOURD Élodie, LEVASSEUR Iris, LÉVY-LASNE Thomas, LIRON Jérémy, LOUTZ Frédérique, MASMONTEIL Olivier, MÉRELLE Fabien, MIN Jung-Yeon, MIRAZOVIĆ Filip, MIQUELIS Gilles, MOCQUET Marlène, MOLK Marc, MOSTYN-OWEN Orlando, NAVARRO Edgardo, NAVI Barbara, NERVI Audrey, NIELSEN Eva, OBRECHT Florence, PAHLAVI Axel, PASIEKA Simon, PENCREAC’H Stéphane, PICANDET Lucie, PINARD Guillaume, POUYANDEH Nazanin, PRADALIÉ Abel, PROUX Laurent, RABUS Leopold, RABUS Till, RENAUD Brann, REYMOND Florence, RICOL Raphaëlle, ROEGIERS Antoine, ROUGIER Karine, SABATTÉ Lionel, TABOURET Claire, TOUMANIAN Guillaume, TURSIC Ida et MILLE Wilfried, VELK Marko, VERNY Thomas, VIDOR Vuk, VRANKIĆ Davor, XIE Lei, ZONDER Jérôme.

MO.CO. Panacée

BAILLY-BORG Carlotta, BARBERAT Rose, BARCELÓ Marcella, BLANC Mireille, CAILLE David, CANESSON Corentin, CAPRON Hugo, CHÉN Xuteng, CLARACQ Jean, CZERMAK ICHTI Neïla, DAL-PRA Diane, DI FOLCO Inès, FLORA Alison, GARCIA-KARRAS Laura, HADDAD Miryam, HAMDAD Bilal, HASCOËT Charles, HERBELIN Nathanaëlle, LEFEBVRE Oscar, MARQUE BOUARET Mathilda, MARTIN Simon, MIRABEL Johanna, RICCIARDI Pacôme, RIVRAIN Cédric, SAFA Christine, SANCHEZ Milène, SARTOR Louise, SHATBERASHVILI Elené, SIVERTSEN Johannes, SOKOL Apolonia, VAGUELSY Gaétan, VENTURA Romain, YASMINEH Rayan.

Back to the future, Aambulanz Kollektiv, Kunstverein Markdorf

posted on 2023-01-05 19:21:00

L´ami.e modèle, une installation de mathieu Mercier au MUCEM, Marseille

posted on 2022-10-19 08:04:33

La Société Pernod Ricard France, à travers sa Fondation, invite l’artiste et commissaire Mathieu Mercier à déployer au cœur du Mucem une installation célébrant l’amitié dans l’art.

Imaginée comme une boîte à souvenirs, remplie d’images rappelant des moments de complicité, « l’ami·e modèle » est une installation de portraits d’artistes réalisés par des artistes, dont beaucoup ont fait l’histoire de la fondation Pernod Ricard. L’accrochage saturé, empruntant aux salons du 19e siècle, dessine un paysage intime et incarné de la scène contemporaine française. Une manière aussi de jouer de l’ambiguïté de l’existence possible de lignées et de filiations. Loin de l’exercice de style, l’installation ne cherche pas à faire état de ce que pourrait être un art du portrait. Plutôt, elle s’arpente comme une maison remplie d’histoires et de personnes, qui se découvre et se redécouvre.

Commissaire : Mathieu Mercier, artiste invité par la Fondation Pernod Ricard
Avec les artistes :
Antide, Boris Achour, Saâdane Afif, Wilfrid Almendra, Virginie Barré, Martin Belou, Pierre Beloüin, Julien Beneyton, Olivier Blanckart, Lara Bloy, Rebecca Bournigault, Jean-Baptiste Boyer, Guillaume Bresson, Alain Bublex, Julien Carreyn, Jean-Charles de Castelbajac, Frédéric Chanclu, Ludovic Chemarin©, Thierry Chiapparelli, Nina Childress, Claude Closky, Claudie Dadu, Gaël Davrinche, Jean-Philippe Delhomme, Erik Dietman, Cyril Duret, Miguel Egaña, Tim Eitel, Sammy Engramer, Made in Eric, Gregory Forstner, Morgane Fourey, Gérard Garouste, Isabelle Giovacchini, Cécilia Granara, Nathanaëlle Herbelin, Guillaume Janot, Gabriel Jones, Boris Kurdi, Matthieu Laurette, Frédéric Léglise, Rainier Lericolais, Natacha Lesueur, Yann Leto, Thomas Lévy-Lasne, Cécile Mainardi, Nicolas Marciano, Simon Martin, Olivier Masmonteil, Myriam Mechita, Caroline Mesquita, Annette Messager, Marc Molk, Laurent Montaron, Jean-Luc Moulène, Stefan Nikolaev, Florence Obrecht, Axel Pahlavi, Florence Paradeis, Simon Pasieka, Yan Pei-Ming, Bruno Peinado, Stéphane Pencréac’h, Juanma Perez, Gerald Petit, Françoise Pétrovitch, Catherine Jacques Pineau, Nazanin Pouyandeh, Anaïs Prouzet, Chloé Quenum, Man Ray, Maroussia Rebecq, Marc Riboud, Paul Ricard, Pascale Robert, Julie Rochereau, Madeleine Roger-Lacan, Christine Safa, Louise Sartor, Simone Simon, Apolonia Sokol, Susanne Strassmann, Viktoriia Sviatiuk, Djamel Tatah, Ida Tursic et Wilfried Mille, Clémence Veilhan, Xavier Veilhan, Maxime Verdier, Piotr Wocjik…

Odyssée, Église Saint Eustache, Paris

posted on 2022-07-01 12:30:00

Exposition personnelle
1- 21 juillet 2022
Vernissage le 1er juillet de 18h30 à 20h15
Invitation de l’Église Saint-Eustache, Paris
Salle des colonnes
Commissariat : Michel Micheau

https://www.voir-et-dire.net/?Florence-Obrecht-Odyssee

Mettre au monde, Centre d´art l´Ar(t)senal, Dreux

posted on 2022-06-20 12:20:00

23 juin 2022 - 8 janvier 2023

Commissariat d´exposition : Lucile Hitier et Amélie Adamo
avec Anais Albar, David B., Katharina Bosse, Jochen Gerner, Fiammetta Horvat, Lidia Kostanek, Fabien Mérelle, Marlène Mocquet, Prune Nourry, Florence Obrecht, Axel Pahlavi, Francoise Pétrovitch, Guillaume Pinard, Charlotte Salvaneix, Sarah Tritz

Les apparences, entretien avec Thomas Levy-Lasne

posted on 2022-05-16 12:32:27

https://www.youtube.com/watch?v=w6mmHmkfnmg

The circus, we are, Musée Félicien Rops, Namur

posted on 2022-05-16 12:25:43

The Circus, we are
Commissaire d´exposition : Joanna De Vos / parution d´un catalogue
Vernissage le 13 mai 2022
13 mai - 25 septembre 2022
Musée Félicien Rops, Namur (+ Le Delta)
Avec Carlos Aires, Homa Arkani, Uldus Bakhtiozina, Dodi Espinosa, Kendell Geers, Oda Jaune and Dariy Danovsky, Marie-Jo Lafontaine, Taus Makhacheva, Enrique Marty, Fabien Mérelle, Messieurs Delmotte, Johan Muyle, Erwin Olaf, Hans Op de Beeck, Femmy Otten Axel Pahlavi & Florence Obrecht, Daniele Puppi, Santiago Ydañez, Mary Zygouri

Visuel : florence Obrecht et Axel pahlavi, L´école des enfants du spectacle, huile sur bois, 110 x 80 cm, 2021-2022

Le jardin de verre, Galerie Valérie Delaunay, Paris

posted on 2022-04-28 17:16:43

Exposition personnelle, texte de Marc Donnadieu
Vernissage le 5 mai 2022 de 18h à 21h
Exposition du 5 mai au 18 juin 2022
Galerie Valérie Delaunay, 42 rue de Montmorency, 75003 Paris

Michel Lunardelli, 2 et 9 novembre 2021

posted on 2021-12-06 22:44:09

Plus d´images sur le site https://www.michellunardelli.com/

Réminiscence, galerie Popy Arvani, Paris

posted on 2021-11-30 08:19:48

La figuration libérée, Chez lola Gassin, Nice

posted on 2021-11-30 08:16:53


La figuration libérée, une histoire de figuration

Après plus de dix années de proximité avec des artistes dont j’ai collectionné des œuvres, j’ai ouvert, en 1984, la galerie Lola Gassin à Nice, en Vieille Ville. Compte tenu du riche tissu artistique local, transformer une passion en profession m’a paru une évidence, comme de créer, en 1986, la foire d’art, Art Jonction International dont j’ai été la présidente jusqu’en 1999.
Dans les années 80, un mouvement fleurissait que l’histoire a retenu sous le nom de : La figuration libre. Cette liberté, revendiquée par une nouvelle génération de peintres animée par beaucoup d’enthousiasme et de désinvolture, contrastait avec la sévérité des années 1970 (art minimal et conceptuel, arte povera, Supports-Surfaces, etc.) et convenait parfaitement à ma sensibilité. Que ce soit Ben (commissaire de ma première exposition de groupe) ou Bernard Lamarche-Vadel, avec sa célèbre exposition, « Finir en beauté », leur influence a été grande et j’ai gardé, durant ma vie, une grande fidélité à la figuration.
Ce choix, cependant, n’a pas été de tout repos. Il fut un temps, lorsque j’en faisais état, où il n’était pas rare de voir sur le visage de la critique, une petite moue dédaigneuse… Heureusement les choses ont changé ! La peinture et la figuration, dont on nous avait annoncé la mort certaine, se portent très bien aujourd’hui,
Forte de ce constat, j’ai choisi La figuration libérée pour titre de cette exposition qui réunit trois parmi les meilleurs peintres figuratifs actuels : Gilles Miquelis, Florence Obrecht, Axel Pahlavi.
Après La nouvelle figuration, La figuration narrative, La figuration libre, mouvements inscrits dans l’histoire, la première exposition de La figuration libérée s’ouvre Chez Lola Gassin.

Traverses, centre d´art La fenêtre

posted on 2021-11-30 08:10:36

Art Vilnius’21 / Kollektiv Aambulanz, 15-17 octobre 2021

posted on 2021-10-11 12:32:33

The Berliner collective Aambulanz is participating to ArtVilnius 21, the Baltic art fair from the 15th to the 17th
of Octobre 2021 at the Lithuanian Exhibition and Congress centre Litexpo. Aambulanz Kollectiv will be the
sole representative of Germany at the biggest visual arts event in the Eastern region.
Aambulanz Kollectiv was created in 2020 as a reaction to the cultural lockdown due to the pandemic. It
gathers Alex Tennigkeit, Kathrin Landa, Florence Obrecht, Wu Zhi, Axel Pahlavi, Alexej Tchernyi and Michel
Castaignet, seven artists based in Berlin who have at heart to maintain a physical link to the public through
non virtual exhibitions.
The Kollectiv has already made three shows in Berlin. Two secretive shows during lockdown as an act of
protest and one widely advertised and acclaimed when the lockdown eased in September 2021 at Atelierhof
Kreuzberg.
In Vilnius, Aambulanz Kollectiv will set up a multimedia show curated by Florence Obrecht including video,
shelter, life size sculpture and paintings. The show is called Somnaambulanz and stands as an allegory of the
waking of the cultural forces amidst adverse time.

Somnaambulanz, Aambulanz Kollektiv, Atelierhof Kreuzberg, Berlin

posted on 2021-09-10 12:25:00

Aambulanz Kollektiv : Michel Castaignet, Kathrin Landa, Florence Obrecht, Axel Pahlavi, Alexej Tchernyi, Alex Tennigkeit & Wu Zhi
16.-19.9.2021
Eröffnung : Donnerstag, 16.09.2021, 18:00 – 22:00 Uhr
Performance Franz J. Hugo 20:00
Öffnungszeiten : Freitag 16:00 - 18:00
Samstag + Sonntag 14:00 -18:00
ATELIERHOF KREUZBERG
SCHLEIERMACHERSTRAßE 31
10961 BERLIN
Instagram : #aambulanz_kollektiv

Die Veranstaltung wird unter den derzeitigen Corona-Vorschriften stattfinden.

Faire des Picasso, WomenPaintersRoom, Berlin

posted on 2021-04-22 09:22:03

19.06-20.06.2021
opening hours : 5-7 pm
Grand opening in our courtyard : 18.06.2021, 5pm
WPR WomenPaintersRoom, Johanniterstrasse 10, 10961 Berlin
due to Covid-19, all information may be subject to change, please check our website for updates www.womenpaintersroom.com
texte de Julie Crenn (voir la rubrique des textes)

Visuel : Faire des Picasso (Pascale), huile sur bois, 110 x 75 cm, 2021.

Les explorateurs, galerie Valérie Delaunay

posted on 2020-09-02 12:04:16

Les explorateurs
Vernissage le jeudi 10 septembre de 18h à 21h
Exposition du 10 septembre au 10 octobre 2020
Galerie Valérie Delaunay, 22 rue du Cloître Saint-Merri, 74004 paris

Texte d´Anne malherbe (voir rubrique textes)

Peinture de genre (en duo avec Axel Pahlavi ), galerie Samira Cambie, Montpellier.

posted on 2020-06-30 12:42:00


Exposition en duo avec Axel pahlavi
Vernissage le 2 juillet 2020
Galerie Samira Cambie, 16 rue Saint-Firmin, 34000 Montpellier.

"Notre-Dame-Des-Sept-Douleurs" Klô Pelgag

posted on 2020-06-26 11:52:00

Sortie de l´album "Notre-Dame-Des-Sept-Douleurs" de la chanteuse québécoise Klô Pelgag pour lequel j´ai réalisé deux peintures.

Yellowoverpurple

posted on 2020-06-19 13:00:00


https://www.yellowoverpurple.com/artist/florence-obrecht/

Aluring, 01.04.2020

posted on 2020-04-10 10:20:11

Je fais les choses que je dois faire, que cela ait l’air féminin ou pas. Mon travail me permet de construire un monde où l’humain et la mémoire sont au centre…” a-t-elle confié dernièrement. Et d’ajouter : “Sans nier ma féminité, je me méfie des cloisonnements qui peuvent mettre en boîte des artistes plutôt que de les mettre en valeur”. Marquées par l’idée de survivance et de réenchantement, ses oeuvres - faisant souvent appel au registre religieux dans des décalages saisissants - nous parlent autant de mutisme que de frontalité. Tournées vers un monde d’innocence et ses méandres, elles font fréquemment acte de parade dans un travestissement émotionnel nourri d’histoires singulières. En effet, la démarche artistique de Florence Obrecht (Photo ci-dessous Crédit@AxelPahlavi) nous renvoie à une “hyperaffectivité” faite de récits incongrus et intrigants dans une absence volontaire de recul et de distance avec la forme inspirée par l’art brut et sa logique d’accumulation. Le regardeur, irrémédiablement submergé par ces narrations, appréciera ce plongeon dans les affects lui montrant que l’artiste n’a pas peur du mauvais goût sans jamais être pour autant à la recherche du kitsch. Mais aussi cette exagération bouleversante constante révélant à la fois le grotesque et la souffrance via une peinture engageant le soleil de minuit de jours polaires marqués par une transparence aux notes angéliques irradiantes. On aime tout particulièrement cette pratique animée par une gestuelle délibérément “borderline” où se déploient des flots de sentiments témoignant d’une horreur du vide. Tel un rideau noir ne demandant qu’à être écarté !

Clément Sauvoy
http://www.aluring.com/blog/2020/4/1/florence-obrecht

So solo, exposition collective, Paris

posted on 2020-01-15 09:29:40

avec Francois Andes, Rodolphe Baudouin, Tamina Beausoleil, Alain Biet, Corine Borgnet, Cyrille Borgnet-Dupont, Jean-luc Caradec, Jessy Deshais, Gael Depauw, Karine Dupont-Borgnet, Iris Gallarotti, Perrine Gaspard, Natacha Ivanova, Tata Jacqueline, Florence Obrecht, Axel Pahlavi, Natalia Pikvo, Maryline Terrier, Yann Derlin, Constantin Zamfiresco

Commissaire d´exposition : Corine Borgnet
Vernissage 22 janvier 2020, 18-21 heures
Exposition du 22/26 janvier 2020

Visuel :
Circus Melo
Diptyque composé d´un autoportrait de Florence Obrecht réalisé à Nice, aquarelle sur papier, 39 x 29 cm, déc. 2019 - janv. 2020 et d´un autoportrait d´Axel Pahlavi réalisé parallèlement à Toronto, aquarelle sur papier, 39 x 29 cm, déc. 2019 - janv. 2020.

Bonne année 2020 !!!

posted on 2020-01-05 21:50:35

Nuit noire / Hôtel Triki

posted on 2019-11-03 18:43:09

« Tout homme porte une chambre en lui. On peut même le vérifier en écoutant. Quand quelqu’un marche vite et que l’on tend oreille, la nuit par exemple, lorsque tout est tranquille, on peut entendre le petit bruit d’un miroir mal fixé au mur ou celui d’un chapeau de lampe. »
Franz KAFKA

Après le Palais Bondy et ses espaces vertigineux, l’Hôtel Triki ouvre à nouveau ses portes dans une galerie émergente du paysage Lyonnais. Dans le cadre du programme Résonance de la 15ème Biennale d’Art contemporain, les artistes devront investir un lieu de 100 m2, labyrinthique et plongé dans le noir. Après l’exposition FOMOSAPIENS où la question du foyer a été abordée, ce nouveau parcours concrétise une nouvelle hésitation, un besoin de contact plus intimiste avec les œuvres proposées : plus d’une centaine de pièces – peintures, dessins, vidéos et performances – que le visiteur pourra apprécier comme autant de curiosités dans une obscurité déstabilisante. Loin du white cube officiel, l’exposition tentera de sonder les notions de « chambre » et d’ « intimité ».

Une affaire de passion, Maison Christian & Yvonne Zervos, Vézelay

posted on 2019-07-03 17:06:18

Avec les oeuvres des artistes :
Andreani Giulia (Italie, Venise 1985), Barrot Ronan (Carpentras 1973), Blanchard Rémi (Nantes 1958 – Paris 1993), Blais Jean-Charles (Nantes 1956), Borel Jérôme (1958), Boutlis Alkis (Grèce, Thessalonique 1978), Cabanes Damien (Suresnes 1959), Castellas Denis (Marseille 1951), Castelli Luciano (Suisse, Lucerne 1951), Forstner Grégory (Cameroun, Douala 1975), Fromanger Gérard (Pontchartrain 1939), Hidaka Christian (Japon, Noda 1977), Ic Hervé-Georges (Paris 1970), Korichi Youcef (Algérie, Constantine 1974), Marchetti Corinne (Marseille 1972), Mesnager Jérôme (Colmar 1961), Nuell Philippe (1970), Obrecht Florence (Metz 1976), Pahlavi Axel (Iran, Téhéran 1975), Pencréac’h Stéphane (Paris 1970), Pignon-Ernest Ernest (Nice 1942), Pouyandeh Nazanin (Iran, Téhéran 1981), Rancillac Bernard (Paris 1931), Rosier Mathilde (Paris 1973), Tabouret Claire (Pertuis 1981), Tatah Djamel (Saint-Chamond 1959), Viollet Catherine (Chambéry, 1953), Zonder Jérôme (Paris 1974)

Beaux-Arts Magazine

posted on 2019-03-30 17:01:41

Kaltblut Magazine

posted on 2019-03-25 00:00:00

https://www.kaltblut-magazine.com/the-power-of-french-contemporary-painting-part-1/?fbclid=IwAR20wd7oq9ySZgoAthjEWte0lPlnXKzo7Ux2mRBFtNK1qFQXDFGPzZMVwEs

Image : Axel Pahlavi, Peindre dans tes yeux, oil on canvas, 290 x 300 cm, 2016private collection, CH, courtesy Galerie Eva Hober Paris

Vitalité de la peinture contemporaine, la scène française

posted on 2019-03-10 16:33:00

https://www.youtube.com/watch?v=i0MuIpRZ0VI&t=44s

Die andere Erde (Céline Berger, Florence Obrecht, Wu Zhi), Kostbar Gallery, Berlin.

posted on 2018-09-27 08:50:36

Kostbar Gallery, Augustraße 85, 10117 Berlin
Vernissage 28.09.2018 ab 18:00
Öffnungszeiten : Mi. bis Fr. 12:00 - 18:00

Que Céline Berger, Florence Obrecht et Wu Zhi aient désiré rassembler leurs travaux n’est pas seulement une histoire d’amitié. C’est aussi une histoire d’affinités entre des peintures qui, malgré une facture à chaque fois différente, sont reliées par un élément fondateur, l’empathie envers l’humain.

Florence Obrecht réalise notamment de grandes figures frontales, en pied, selon un format rare qui rappelle la majesté des portraits à la Van Dyck. Ces figures, pourtant, se trouvent être des adolescentes ou des jeunes femmes. Très contemporaines, elles portent, en guise de titres de noblesse, des accessoires : cerceau de gymnaste, short rose ou encore un vêtement dont l’étoffe mêle des motifs africains à des motifs féministes. L’artiste fait exister ces jeunes filles non seulement par la précision figurative qui préside à leur réalisation mais aussi par leur épaisseur vitale et leur rayonnement.

Si les figures de Florence Obrecht s’imposent, charismatiques, parfois sur un fond or telles des figures de saints ou de rois, celles de Céline Berger, au contraire, s’inscrivent dans un paysage jusqu’à s’y fondre : un homme et une femme dans un jardin qui ressemble à l’Eden, une femme devant l’âtre, environnée d’alignements de bougies, une silhouette dans un paysage de sources et de grottes.
Ces compositions ont la facture naïve que leur confèrent notamment la construction de l’espace ou les traits des personnages, mais aussi un raffinement comparable à celui d’une broderie (faite d’infinies gouttes lumineuses) ou d’une enluminure médiévale. Le regard est invité à prendre place dans ces espaces à la fois humbles et glorieux, telles des images pieuses travaillées par toute une tradition de savoir-faire artisanal.
A côté de ses grands formats, Florence Obrecht se place également dans une filiation avec les traditions populaires, quand le textile devient le matériau principal de ses compositions. Par ses portraits en patchwork, par exemple, elle répond à la question de la possibilité de la peinture comme artisanat. L’acte de coudre, s’il peut paraître vieillot, ralentit le temps, répare, relie entre eux les êtres.

Wu Zhi, quant à elle, nous invite à contempler l’étrangeté de l’autre. Dans cet attirail d’objets dont elle affuble ses personnages (sac de congélation sur la tête, bâche de plastique en guise de cape, ornements de métal), elle parle, en termes cryptés, de tout ce qui, chez eux, nous échappe, de leurs sentiments, de leurs fissures, des aléas de leur histoire. Même jeunes, les personnages de Wu Zhi sont lourds de leur histoire. Ils portent, comme un étendard, l’extrême singularité dont la vie a fini par les envelopper.
L’artiste manie la virtuosité technique dans l’exécution des nuances bleutées de la peau, des transparences, du rendu des matériaux, des lumières tout en clair-obscur. Cette virtuosité sert l’héroïsme de ces figures anonymes. Placées sur un fond intemporel, aux couleurs orageuses, elles sont à la fois réelles (on sent, derrière chacune, la présence de la personne qui a posé) et énigmatiques. Le spectateur a la sensation déroutante de détenir lui-même la clé du mystère, sans pour autant pouvoir s’en servir, arrêté qu’il est par leur intense beauté.

L’énigme est aussi au cœur de la peinture de Céline Berger, ponctuée par ce qui ressemble à des motifs ésotériques (coraux, source, arbres de vie, chandeliers), et notamment dans cette scène où deux femmes se penchent sur une pierre étrange. Celle-ci est comme insérée dans ce filet de perles colorées et brillantes qu’on retrouve régulièrement dans son œuvre : fin tissage, veinules exprimant notre désir d’harmonie, d’enchantement, de reliance.

Anne Malherbe
(Critique d’art et commissaire d’expositions indépendante)

***
Céline Berger, Florence Obrecht und Wu Zhi haben nicht nur den Wunsch gehegt ihre Arbeiten gemeinsam auszustellen, weil sie befreundet sind. Es gibt auch Affinitäten zwischen diesen Malereien, die ein grundlegendes Element verbindet, obwohl jeweils ein unterschiedlicher Ansatz existiert : nämlich die Empathie zum Menschen.

Florence Obrecht malt vor allem eindrückliche, frontale Figuren, stehend, in seltener Manier, die an die Imposanz von Van Dycks Porträts erinnert. Diese Figuren sind jedoch Heranwachsende oder junge Frauen, und anstatt der Attribute der Noblesse tragen sie sehr aktuelle Mode-Accessoires : Gymnastik-Reifen, rosa Shorts oder Kleider, wo afrikanische und feministische Motive vermischt sind. Die Künstlerin bringt die jungen Mädchen nicht nur durch die bemerkenswerte figurative Präzision zum Leben, sondern auch durch ihre vitale Ausstrahlung.

Während sich die Figuren von Florence Obrecht in den Vordergrund drängen, charismatisch, auf goldenem Grund wie Heilige oder Könige, integrieren sich jene von Céline Berger in die umgebende Landschaft, bis sie damit verschmelzen : Ein Mann und eine Frau in einem Garten, der dem Garten Eden ähnlich sieht, eine Frau vor dem Herd, umgeben von aufgereihten Kerzen, eine Silhouette in einer Landschaft von Quellen und Grotten.
Man kann sagen, dass diese Kompositionen naiv sind, besonders was den Aufbau des Raumes und die Züge der Dargestellten anbetrifft, sie besitzen aber auch eine Feinheit, die mit der einer Stickerei (gleichsam wie aus unendlich vielen leuchtenden Tropfen) oder einer mittelalterlichen Buchmalerei verglichen werden kann. Der Blick ist dazu verleitet in diesen bescheidenen und zugleich gloriosen Räumen zu verweilen, ganz so wie bei religiösen Bildern, die durch eine lange Tradition von handwerklichem Können entstanden sind.
Florence Obrechts Arbeit ist, abgesehen von ihren Grossformaten, ebenfalls in der Linie der populären Traditionen, wenn nämlich der Stoff zur Hauptsache ihrer Kompositionen wird : In ihren Patchwork-Porträts antwortet sie zum Beispiel auf die Frage nach der Möglichkeit der Malerei als Handwerk. Der Akt des Nähens, auch wenn dieser veraltet scheinen mag, verlangsamt den Zeitablauf, repariert und verbindet die Menschen miteinander.

Wu Zhi hingegen lädt uns ein, die Andersartigkeit des Gegenübers zu betrachten. Im Objekt-Wirrwarr, mit dem sie ihre abgebildeten Personen ausstaffiert (Gefriertüte auf dem Kopf, Plastikfolie als Umhang, Metallverzierungen), erzählt sie, in kryptischer Form, von allem, was uns bei ihnen entgeht, ihre Gefühle, ihre Verletzungen, die Eigenheit ihrer Lebensgeschichte, die - auch wenn die Personen jung sind - schon mit vielen Erfahrungen beladen ist. Es ist, als ob die Einzigartigkeit die Figuren wie eine Fahne umwickelt hat.
Die Künstlerin besticht durch die technische Virtuosität bei der Ausführung von bläulichen Nuancen der Haut, der Materialwiedergabe, der Lichter ganz in hell-dunkel. Diese Virtuosität dient dem Heroisieren der Figuren. Auf zeitlosem Hintergrund, in gewitterhaften Farben, sind sie real (man spürt hinter jeder Figur die individuelle Präsenz der Person, die posiert hat) und zugleich enigmatisch. Es kommt dem Betrachter so vor, als ob er selbst den Schlüssel zum Verständnis des Mysteriums besitze, ohne aber imstande zu sein, es zu entschlüsseln - so erstarrt ist er von ihrer intensiven Schönheit.

Das Rätsel ist auch im Zentrum der Malerei von Céline Berger, angedeutet durch Dinge, die an esoterische Motive erinnern (Korallen, Quellen, Lebensbäume, Kerzenleuchter), und speziell in der Szene wo zwei Frauen sich über einen sonderbaren Stein beugen. Dieser befindet sich in einem Netz farbiger und leuchtender Perlen, die man regelmässig in Bergers Werk wiederfindet : feine Weberei, kleine Gewebe, die unseren Wunsch nach Harmonie, Entzücken und Vertrauen ausdrücken.

Anne Malherbe
(Kunstkritikerin und freie Kuratorin)

Images / Bilder :
Wu Zhi, Birthday, Öl auf Leinwand, 25cm Durchmesser, 2018
Céline Berger, Le repaire du condor, Öl auf Leinwand, 30 x 40 cm, 2017-2018
Florence Obrecht, Tata Hélène, Öl auf Holz, 150 x 70 cm, 2018

Die Jahrhundert-Bar (1920-2020)

posted on 2018-09-27 08:39:35

kuratiert von / curated by Alex Tennigkeit und Kathrin Landa

Mit Künstlerinnen des MNW und Gästen* / with MNW- members and guests* :

Joannie Baumgärtner*, Fritz Bornstück*, Steffi Dost, Mareike Drobny*, Isabelle Dutoit, Zo-har Fraiman, Marie Gold, Franziska Guettler, Nina K. Jurk, Heike Kelter, Michael Kirkham*, Marianna Krueger, Kathrin Landa, Verena Landau, Corinne von Lebusa, Catherine Lorent, Rosa Loy, Florence Obrecht*, Justine Otto, Axel Pahlavi*, Gudrun Petersdorff, Maria Sainz Rueda, Julia Rüther, Ann-Katrin Schaffner, Sophia Schama, Moritz Schleime*, Eva Schwab, Bettina Sellmann, Tanja Selzer, Caro Suerkemper, Alex Tennigkeit, Kathrin Thiele, Miriam Vlaming

Projektraum Ventilator
Katzbachstr. 24, 10965 Berlin

Eröffnung / Opening : 27.09.2018, 19 Uhr / 7 pm - open end
Dauer / duration : 27.09.2018 - 07.10.2018
Öffnungszeiten / open : 28.-30.09.2018 : 14-18 Uhr ; 6.& 7.10. : 14-18 Uhr
& nach tel. Vereinbarung / by appointment : 0172/ 7467225

MNW
www.malerinnennetzwerk.com
Projektraum Ventilator
https://ventilator.blog/

Die Ausstellung Die Jahrhundert-Bar (1920-2020) ist eine Hommage an den expressionis-tischen Film der frühen 1920er Jahre. In einer experimentellen Rauminstallation zeigen Künstlerinnen des MalerinnenNetzWerks Berlin-Leipzig und sieben Gastkünstler*innen ihre Arbeiten.
Den Betrachter erwartet dabei keineswegs ‚nur’ expressionistische Malerei. Vielmehr wird der Expressionismus als Motiv bzw. als atmosphärisches Ausdrucksmittel aufgegriffen, wie dies auch beim expressionistischen Film der Fall war. Überdies werden in den gezeig-ten Arbeiten heutige Konflikte, wie das Auseinanderdriften der Gesellschaft, der politische Rechtsruck, die immer noch herrschende Ungleichheit zwischen den Geschlechtern, ver-handelt.
Eine modulare, speziell für den Ausstellungsraum geschaffene Konstruktion aus spitzen Dreiecken lässt verschachtelte Kabinette und verschiedenartige Durchgänge entstehen und in Anlehnung an damalige Filmkulissen sind fiktive Schatten direkt auf die Wand ge-malt. Der in Kooperation mit Joannie Baumgärtner gestaltete Ausstellungsraum wird zur expressionistischen Matrix, welche den etwa 30 monochromen bis schwarz-weissen Ar-beiten einen gemeinsamen, architektonisch verdichteten Rahmen gibt.

„Die Nerven der Welt sind krank !“

Um 1920 hatte sich der Expressionismus bereits in Malerei, Literatur und Theater etabliert und sollte nun im jungen Medium Film zu einer neuen Kunstform gedeihen. „Das Filmbild muß Graphik werden“, formulierte einer an dem Film „Das Cabinet des Dr. Caligari“ betei-ligten Architekten. So unterstreichen gezeichnete Dekors und Schatten Unwirklichkeit und Horror der Handlung. Diese expressive Formensprache schien zudem gut geeignet, um die nach wie vor präsenten Kriegstraumata zu verarbeiten. Meist spielten düstere Inhalte, wie das wiederkehrende Motiv des Wahnsinns eine zentrale Rolle – besonders deutlich in dem Film „Nerven“ von 1919, in welchem der geisteskranke Roloff verkündet : „Die Nerven der Welt sind krank !“ Der herangezogene Psychiater listet folgende Gründe für die Entste-hung von Geisteskrankheiten auf : Die fortschreitende Zivilisation, der Kampf ums Dasein, Angst und Schrecken des Krieges, die Sünden der Eltern.

Dem Filmtheoretiker Siegfried Kracauer zufolge bietet der deutsche Film der zwanziger Jahre insgesamt das Psychogramm einer traumatisierten Gesellschaft, die von Hoffnung und Resignation, Wirklichkeitsflucht und Widerstand zerrissen wurde. Expressionistische Filme zeigen ein „gesellschaftliches Unbehagen“. Immer wieder scheitert das Individuum am Ausbruch aus der Masse. Es werden Ideale beschworen und man versucht, den neu-en, modernen Menschen zu schaffen.

In der Blütezeit des expressionistischen Films (ca. 1919-25) stehen die Deutschen im Bann vieler Unsicherheiten wie Hunger, Arbeitslosigkeit, hohe Säuglingssterblichkeit, Hy-perinflation, politische Unruhen. Soziale Spannungen werden in der relativ stabilen Wei-marer Demokratie jedoch immer mehr von einer wachsenden Unterhaltungsindustrie be-mäntelt. Der Film wird zum Massenmedium und deutsche Filme zum Devisenbringer, wo-bei der deutsche Film wegen seiner ausdrucksstarken Filmarchitekturen internationales Ansehen erringt.
Es ist eine Zeit des Übergangs, vom Kriegstrauma hin zu rasanten Modernisierungen, was vor allem in Städten wie Berlin ein weltstädtisches Lebensgefühl beflügelt. So wird die Großstadt „zum ewigen Sehnsuchtsort hedonistischer Fantasien : Vom Alexanderplatz fährt eine Straßenbahn zur Milchstraße, vor expressionistischen Gemälden fliegt dem Bürger der Hut vom Kopf und in den Nachtklubs gibt man sich sexueller Anarchie und kul-tivierten Koksneurosen hin.“

Parallelen dieser Zeit der Spannungen und des Aufbruchs zu unserer Gegenwart sind un-übersehbar. Die Kunsthistorikerin Ingrid Pfeiffer zieht hierzu diverse Vergleiche :„Es gibt heute wie damals die Wahrnehmung in der Gesellschaft, dass der Fortschritt zwei Seiten hat und nicht jeder davon profitiert. Dass die Maschine den Menschen nicht mehr braucht (…). Damals gab es die Fließbandabfertigung, heute ist es die Digitalisierung.(…) Ver-gleichbar mit unserer Zeit ist auch das Wegbrechen der gemäßigten Mitte und der Anstieg des Extremismus. (…) Gleichzeitig war die Weimarer Republik auch der Beginn der Mo-derne, mit sehr vielen fortschrittlichen Ideen (…) : die neue Frau, die Debatte um den Ab-treibungsparagraphen 218 und den Homosexualitätsparagraphen 175 (…). Rollenbilder wurden über Bord geworfen und es gab zahlreiche neue Berufe für Frauen.“

Struckturveränderungen, exposition collective, Kostbar gallery, Berlin.

posted on 2018-05-11 12:08:49

Strukturenveraenderungen
Vernissage am 16. Mai ab 18:00
Kostbar Gallery, Auguststraße 85, 10117 Berlin
Kurator : Christoph Kolk

mit Thibault Bourgoing, Daniel Hundertmark, Jérémie Martino, Gulnur Mukazhanova, Florence Obrecht, Axel Pahlavi, Mathias Schauwecker.

Quel amour ?!, Musée d´Art Contemporain, Marseille

posted on 2018-04-13 09:24:39

Folklores, exposition personnelle à la galerie ALB, Paris.

posted on 2018-01-18 19:32:48




L´exposition est prolongée du jeudi 25 au mercredi 31 janvier 2018 !

So beast & nasty, exposition collective organisée par Corine Borgnet

posted on 2018-01-18 19:29:36

Friends & Family, galerie Eva Hober, Paris.

posted on 2017-11-24 09:21:17

Folklores, exposition personnelle à la galerie ALB, Paris.

posted on 2017-11-24 09:12:31

Playlist, Erratum galerie, Berlin

posted on 2017-11-01 18:44:00

Playlist

Exhibition from 4 November to 16 December 2017
Opening Saturday 4 November, 17:00 - 21:00

Erratum is very pleased to reopen its doors with yet another exhibition on painting. To alleviate any thematic fatigue, the new four-headed team will kick off with a light and playful mode, gently experimenting with the qualities and features of the paint medium within the Raum.
As for introduction, the exhibition is conceived as a playlist de coeur from Dean, Franck, Linda, and Raphaël-Bachir. On the walls unfolds a spectrum of small-sized paintings displayed edge to edge, according to a simple principle of formal affinities and associations : a sort of visual mixtape of pieces by various artists.
An audio edition completes and extends the installation on display. Available on CD, it contains a second playlist of sounds and recordings submitted by the artists.

Playlist is a group compilation featuring works by Dean Annunziata, Alexandre Bavard, Mireille Blanc, Volodymir Bevza, Mathieu Boisadan, Fritz Bornstuck, Matthieu Clainchard, Claire Decet, Daniel Ewinger, Ivan Fayard, Samuel François, Vincent Gallais, Paris Giachoustidis, Annelies Grève, Lukas Glinkowski, Philip Grözinger, Christina Hartwich, Aurélie de Heinzelin, Pascal Hointza, Robin Isenmann, Heike Kelter, Youcef Korichi, Frédéric Léglise, Elodie Lesourd, Anna Ley, Caroline Meyer Bickenbach, Filip Mirazovic, Marc Molk, Pedro Moraes Landucci, Simon Morda-Cotel, Audrey Nervi, Maël Nohazic, Florence Obrecht, Raphaël-Bachir Osman, Axel Pahlavi, Simon Pasieka, Nazanin Pouyandeh, Robin Rapp, Franck Rausch, Alexander Skorobogatov, Juliette Sturlèse, Mathias Schech, Götz Schramm, Alex Tennigkeit & Paul Barnett, Alexander Tillegreen, Tyra Tingleff, Isabella Uhl, Raphaël Vincenot, Frank Vivier, Marta Vovk, Alexander Wagner and Sarah Wolher.

Kunstschorle, Projektraum Ventilator, Berlin.

posted on 2017-09-14 18:34:00

Où poser la tête ? [chap.3] – Wo soll mein kopf ruhen ? galerie dukan, baumwollspinnerein, leipzig

posted on 2017-05-21 14:34:43

Commissariat : Julie Crenn

Artistes : Romain Bernini – Nina Fowler – Folkert de Jong – Myriam Mechita – Florence Obrecht – Alicia Paz – Jean-Xavier Renaud – Karine Rougier – Katharina Ziemke – Kimiko Yoshida.

Il faut que la présence ne soit pas abstraite. Par exemple la chose la plus difficile à faire en ce moment c’est le portrait. A cause de ça c’est presque impossible à faire. Je vais continuer à essayer.
Francis Bacon

La question du portrait et de l’autoportrait fait partie intégrante de l’histoire de l’art, depuis les peintures pariétales jusqu’aux photographies de Cindy Sherman, en passant par les portraits du Fayoum, les peintures de Rembrandt, de Frida Kahlo, de Marlène Dumas, les sérigraphies d’Andy Warhol ou encore les sculptures de Stephan Balkenhol. Peu importe le support et la technique, les artistes représentent, sans jamais pouvoir en épuiser le thème, leur propre visage et/ou ceux de leurs contemporains. Henri Michaux, poète et artiste, a su décrypter la nécessité de dessiner, de peindre, de sculpter, de photographier ou de filmer les images de soi et d’autrui. Il s’attache notamment à l’analyse du dessin d’enfant. Dès notre plus jeune âge, le crayon à la main, nous traçons des formes, qui, peu à peu, se précisent et se révèlent : un rond dans lequel viennent s’inscrire ce qui s’apparente à des yeux, un nez, une bouche, des cheveux. « La trace linéaire laissée sur le papier lui rappelle quelqu’un, la mère ou le père ; l’homme déjà, l’homme représentant tous les hommes, l’homme même. » Rapidement les dessins se tournent vers l’auto-figuration ou bien de représentation des autres, des êtres connus, inconnus ou imaginaires. Par extension, le dessin génère une vision de la société et plus largement du monde. Une vision multiforme que les artistes s’emploient à poursuivre, à élargir et à préciser. Les [auto]portraits agissent par échos. Alors, les œuvres fonctionnent comme des miroirs à la surface desquels les artistes, leurs environnements et leurs histoires se reflètent. Elles sont des espaces de projections pour celui et celle qui les regarde, des espaces au creux desquels nous sommes physiquement, psychiquement, visuellement confrontés au corps, au visage de l’autre.

Les [auto]portraits engagent différentes questions : l’affirmation ou bien la remise en question d’un statut (celui de l’artiste), d’une identité (artistique, culturelle, sexuelle), d’une vision critique, politique, poétique des autres et/ou de soi. Ils engendrent un ensemble de sentiments à la fois complémentaires et contradictoires : le trouble, l’identification, le rejet, la crainte, l’empathie, le doute. Pourtant, la fascination prédomine, l’irrésistible tête-à-tête entre le regardeur et le sujet provoque une pluralité de réactions. Les [auto]portraits activent une dissonance et une complexité inhérentes à la nature humaine. L’exposition Où poser la tête ? est nourrie de ses différents champs de recherche, de ces différents sentiments qui façonnent l’expérience de chacun. Le titre de l’exposition est une interrogation. Où poser la tête ? Qui suis-je ? Qui es-tu ? Comment se représenter et représenter l’autre ? Que nous disent les portraits et autoportraits ? Comment se positionner dans le monde ? Les œuvres formulent un dialogue où les regards politiques et poétiques se croisent et s’entrechoquent selon différents axes de réflexion : le portrait – la réactualisation d’un genre traditionnel, l’archive, le corps politique, l’intime, le masque et la performativité de soi. Les œuvres attestent d’une ambiguïté constante et d’une pluralité (des formes et des discours) nourrie de mouvements et de perturbations. Qu’ils soient traités de manière directe ou indirecte, les [auto]portraits traduisent un mouvement, celui d’une performance continuelle des corps, des identités et des idées.

Julie Crenn

Visuel : Kimiko Yoshida La Mariée Arlequin, dans le souvenir de Picasso.
Autoportrait/The Harlequin Bride, remembering Picasso. Self-portrait, 2006

Jusqu´à ce que la mort nous sépare

posted on 2017-01-20 19:55:29

Visuel :
Jusque´à ce que la mort nous sépare
Axel Pahlavi et Florence Obrecht
Gouache sur papier, 228 x 150 cm, 2017.

Comedian Harmonists - Axel Pahlavi et Florence Obrecht

posted on 2017-01-13 11:21:01

Inglan Is a Bitch

posted on 2016-11-25 10:26:08


http://www.webalice.it/t.christiansen/Inglan%20Is%20A%20Bitch.htm

Sortie du catalogue "Le Royaume" Axel Pahlavi & Florence Obrecht

posted on 2016-08-12 15:21:51

https://vimeo.com/178491197

Nouveau blog !

posted on 2016-04-20 23:56:04

http://florenceobrecht.tumblr.com

Seuls / ensemble, Artothèque de Caen, 23.04 - 25.09 2016

posted on 2016-04-16 00:15:52

True mirror, espace Commines 8 et 9 avril 2016

posted on 2016-04-08 17:05:20

Marion Auburtin / Pauline Bazignan / Anke Becker / Emily Beer / Emilie Benoist / Céline Berger / Romain Bernini / Mireille Blanc / Betty Böhm / Edouard Boyer / Damien Cadio / Emmanuelle Castellan
/ Alexine Chanel / Eric Corne / Mélanie Delattre-Vogt / Arnaud Devaux / Donatella Dior / Cécile Dupaquier / Isabel Duperray / Laurence Egloff / Frank Eickhoff / Pascal Frament / Gfeller&Hellsgard / Monika Goetz / Danielle Gutman / Ulrich Hakel /Jorg Hasheider / Andy Holtin / Hervé ic / Jung-Yeun Jang / Gabriel Jones / Chloé Julien / Heike Kelter / Régine Kolle / Benjamin l. Aman / Corinne Laroche / Marie Lepetit / Thomas Levy-Lasne / Sara-Lena Maierhofer / Miguel Marajo / Maude Maris / Eva Nielsen / Alexandra Noat Dumeste / Florence Obrecht / Axel Pahlavi / Nathalie Piernaz / Tim Plamper / Inken Reinert / Raphaël Renaud / Anne-Laure Sacriste / Alice Sfintesco / Luzia Simons / Jeanne Susplugas / Alex Tennigkeit / Roselyne Titaud / Maxime Touratier / Evgenija Wassilew / Katharina Ziemke

Sagt ihr, kleinen Kinderlein, warum ihr lacht nicht mehr

posted on 2016-02-19 16:50:56

Épouse Circus

posted on 2015-10-27 21:02:28

https://vimeo.com/143779788?utm_source=email&utm_medium=clip-transcode_complete-finished-20120100&utm_campaign=7701&email_id=Y2xpcF90cmFuc2NvZGVkfGVjYWU5NDBjN2FkZmVjZGZhZDQ0ZDQwYzQzOGY4N2FlMzkzfDQ1MjY1MTE5fDE0NDU5NzI1MzV8NzcwMQ%3D%3D

Kosmos seven

posted on 2015-09-21 18:48:41

Des envies d´eux, group show, galerie ALB

posted on 2015-05-20 07:37:52

Le Royaume, Axel Pahlavi / Florence Obrecht

posted on 2015-04-12 11:43:12

24.04.15 - 31.08.15
Spieß Schumacher Schmieg & Partner, Rechtsanwälte
Märkisches Ufer 34, 10179 Berlin

Hilde Bergmann, Retrospektive

posted on 2015-02-28 18:33:47

Sehen- Malen- Sehen- Erkennen

Zu den Werken von Hilde Bergmann

Hilde B. entwickelte ihre Arbeiten aus dem Gesehenen in Natur- und Stadträumen. Zeichnungen oder Fotos dienten ihr als Vorstufe, um sie in Malerei oder in Entwürfe von Stoffen und Tapeten umzusetzen.

Bilder mit floralen Motiven treten uns gegenüber. In ihrem Aufbau wirken sie wie detaillierte Ausschnitte von einem Blumenstrauß oder einem Gewächshaus. Ihre Dichte, ihr Reichtum an Strukturen ist in einem hellen Licht gehalten. In Hilde B. Bildern wird die Malerei nicht zur Konkurrenz der Natur, sondern lässt uns in der feinsinnigen Organisation von Farbe erkennen, dass die Natur nicht aus Gegenständen, die wir uns vorstellen, besteht.

In den rein abstrakten Bildern verwandelt Hilde B. Motive aus der Architektur in farbige Strukturen, die in einem Linien- oder Flächenverbund erscheinen.
Horizontale oder vertikale Streifen werden überlagert von Kreisformen, die wiederum in lineare Gefüge unterteilt sind. Ihre Farbklänge erinnern an die 50er -70er Jahre.
In diesen rhythmisch angelegten Farbkompositionen setzt sich Hilde B. mit der Wechselwirkung der Farbe auseinander. Angelehnt an die Lehre des Bauhauses organisiert Hilde B. die Farben, die aneinander stoßen in einer sinnlichen jedoch auch messbaren Weise. Durch das Setzen von Komplimentärkontrasten und unterschiedlichen Tonwerten beeinflussen sich die Farben wechselseitig.

Hilde B. lädt uns ein, dem eigenen Sehen zu vertrauen, denn sie weiß nach der spürbar langjährigen Arbeitserfahrung, dass das Auge die Farbe ordnet und sortiert.

Susanne Jung

En substance, Axel Pahlavi et Florence Obrecht, 19,20,21,27,28 décembre 2014, temple réforme de Sarre-Union (exposition organisée par le Triangle des Bermudes)

posted on 2014-12-15 00:03:00

La grande parade, exposition personnelle à la galerie ALB 16 octobre - 25 novembre 2014

posted on 2014-10-10 07:58:46

Cadavre exquis à la plage, Projektraum Ventilator 24, Berlin, 4 juillet - 1 aout 2014

posted on 2014-07-01 15:03:00

avec/mit :
Tom Anhold, Eugénie Bachelot Prévert, Jérôme Barbe, Sarah Battaglia, Emilie Benoist, Emmanuel Bornstein, Fritz Bornstück, Thibault Bourgoing, David Button, Baptiste César, Alexine Chanel, Daphné Chevallereau, Eric Corne, Caroline Cassel, Cyprien Desrez, Salômé Guillemin, Ayako David Kawauchi, Gaël Davrinche, Agnes Domke, Jürgen Durner, Laurence Egloff, Vanessa Fanuelle, Holmer Felmann, Maike Freess, France Gayraud, Régis Gonzalez, Amélie Grözinger, Philip Grözinger, Chris Hammerlein, Jonathan Hecht, Franziska Houmsi, Maged Houmsi, Franz J. Hugo, Paul Hutzli, Sarah Jérôme, Chloé Julien, Susanne Jung, Nicolas Kashian, Justina Kilinski, Luzie Kork, Yannick Lambelet, Jing Liu, Zara Marlen, Armen & Melvin, Jérémie Martino, Marc Molk, David Morel, Gulnur Mukazhanova, Patrick Munck, Frédéric Nakache, Maho Nakamura, Audrey Nervi, Claus Hugo Nielsen, Bettie Nin, Alexandra Noat-Dumeste, Maël Nozahic, Annina Nusko, Florence Obrecht, Axel Pahlavi, Gérald Panighi, Francois Paris, Johanna Perret, Joao Persenda, Nazanin Pouyandeh, Marco Reichelt, Raphael Renaud, Caroline Rivalan, Lionel Sabatté, Mathias Schauwecker, Caroline Schmidt, Mickael Sellmann, Jenny Shin, Cédric Taling, Alexej Tcherniy, Tenko, Alex Tennigkeit, Emilie Thomas, Matthäus Thoma, Paul Vergier, Yannick Vey, David Weishaar, Anna Wright, Wu Zhi, Aaron Zimmer, Amandine Zaïdi, Jérôme Zonder.

Planetarium Altera

posted on 2014-04-12 15:26:22

Drawing now Paris 2014 stand ALB

posted on 2014-03-02 15:20:01

Art Paris Art Fair 2014 stand ALB

posted on 2014-03-02 15:13:53

JPEG - 44.6 ko
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Beautiful Painting is behind us - Maribor

posted on 2012-09-01 23:29:20

BEAUTIFUL PAINTING IS BEHIND US
Maribor Art Gallery, Strossmayerjeva 6, Maribor
2 August – 9 September 2012
opening : Thursday, 2 August 2012 at 19.00

You are kindly invited to the opening of the exhibition as part of the project ART ALWAYS WINS/TERMINAL 12 ! Opening speaker : Mitja Čander, programme director of MARIBOR 2012 – European Capital of Culture. Exhibition curators Arne Brejc and Eva Hober will held a guided tour of the exhibition after the opening.

The exhibition was initiated by Jean-Luc Maslin, Cultural Counsellor and Director of the French Institute of Turkey. He suggested to Eva Hober, a gallerist from Paris, to curate an exhibition focused on contemporary French artists. Beautiful painting is behind us has already been on display in Istanbul (2010), Ankara (2011) and Nantes (spring of 2012). For the exhibition at the Maribor Art Gallery, Eva Hober decided to expand it with works by several Slovenian artists and she invited Arne Brejc for a collaboration. In 2013, a second version of the exhibition, with a new group of artists, will first be shown in Europe. Then, the show will be hosted by in USA, in 2014.

Beautiful painting is behind us exhibited by the Maribor Art Gallery, is one of the exhibitions in the frame of the Art always wins project / Terminal 12 and has been supported by the Maribor 2012 – European Capital of Culture and the French Institute Charles Nodier. Thirty-six artists from France and Slovenia exhibit their most recent works, which are exceptional contemporary artistic confessions, a commentary and analysis of Man being trapped in the shackles of this complex world. The exhibition is about the power of contemporary painting which leaves no one cold and unaffected ; it speaks about the generation of artists who have grown and formed themselves under the influence of television, computers, comics, film and the great classic treasure chest of art, and for whom the painting has remained a relevant medium. Each with their own expressive language the artists bear witness to the violence of the modern world. Their return to figurative art reflects a brilliant and at the same time distressing picture of our time in which numerous references to history, painting and the world in general blend into an interpretation of reality and reveal an often visionary interpretation of our contemporary myths and society. In spite of the variety of stylistic languages used by individual artists, several features are common to their works, such as subliminally accentuated interpretations in the works by Axel Pahlavi, Youcef Korichi and Audrey Nervi, and the violently marked flow in the works by Jérôme Zonder, Damien Deroubaix, Ronan Barrot, Ida Tursic and Wilfried Mille.

 »When today a young painter /paintress stands in front of a canvas or any other medium used, this surface is never white, never entirely empty ; a white canvas is only an appearance, yet never an emptiness. Through this surface the history of art pulsates, the images seen by young artists, reproductions and originals stored in their memory (even though they never think of them) ; through this surface an enormous arsenal of contemporary media imagery is moving, thousands of images that surround artists in their every-day life. It seems painters these days very rarely think in advance about the »form« , about its abstract idealism, purity, spirituality, metaphysics. Media image-making is realistic, semantically functional, focused on the message, while the appearance serves the content ; in media there is on principle nothing abstract in the Kantian sense, nothing by itself, because of itself. As a result, contemporary painting is »realistic« , combining cartoon, film, photography and television fragments, and is just as performative as any external action ; it contains elements of posters and media, music and video spots, it is full of sophisticated colours and polished surfaces. It is equally full of all that belongs to an urban visual dumpsite, the disintegration of used images and commercial messages : these messages have been present in another medium, and have now found their place in the painting as a fragment, an association, a metaphor, also as an error or enigma – to summarize, as a much more »open work« than allowed by the media communicative functionality. In a special way the paintings are dysfunctional, useless, private, but because of this they address the viewer with even more passion.« (Tomaž Brejc and Arne Brejc, from the exhibition catalogue).

artists : Ronan Barrot, Julien Beneyton, Romain Bernini, Katia Bourdarel, Alkis Boutlis, Andrej Brumen Čop, Damien Cadio, Nicolas Darrot, Damien Deroubaix, Tina Dobrajc, Gregory Forstner, Mito Gegič, Cristine Guinamand, Jaša, Barbara Jurkovšek, Youcef Korichi, Kosta Kulundzic, P. Nicolas Ledoux, Élodie Lesourd, Iris Levasseur, Marlène Mocquet, Audrey Nervi, Maël Nozahic, Florence Obrecht, Axel Pahlavi, Mark Požlep, Raphaëlle Ricol, Lionel Sabatté, Miha Štrukelj, Iva Tratnik, Ida Tursic in Wilfried Mille, Luka Uršič - Kalu, Sanja Vatić, Uroš Weinberger, Jérôme Zonder

curators : Arne Brejc and Eva Hober
produced by : Kultura 21
coproduction : Maribor 2012 - European Capital of Culture / Terminal 12
supported by : Institut Français Ljubljana and Maribor 2012 - European Capital of Culture

Photo above : Audrey Nervi, Fuck the © - Raf Boccanfuso – Paris 2012, 2012, oil on canvas, courtesy of the artist

Opera Seria

posted on 2012-04-05 21:23:23

La belle peinture est derrière nous, lieu unique, Nantes

posted on 2012-02-29 17:25:14

Je hais les couples

posted on 2012-01-07 18:00:02

Exposition " La belle peinture est derrière nous " Istanbul, Entrepot N° 5, Decembre 2010

posted on 2011-01-05 12:40:50


25 artistes, 60 œuvres et potentiellement 5 lieux d’exposition à l’international. Telle est l’ossature de La belle peinture est derrière nous, projet d’exposition entièrement dédiée à la scène picturale française actuelle et initié par Jean-Luc Maslin, Directeur de l’institut français de Turquie en collaboration avec Eva Hober, galeriste et Commissaire d’exposition.
Nés entre 1962 et 1985, les artistes présentés s’attachent tous à exprimer une même tension aux accents générationnels dans une écriture forte dont la diversité des formes bâtit la richesse d’une autre peinture. Il s’agît de promouvoir au sein d’un large dialogue le dynamisme d’une génération et la pluralité de ses préoccupations, donner à voir sous la forme d’un véritable panorama un travail à la facture énergique où l’image picturale fait peau neuve pour cristalliser de nouvelles expressions. La belle peinture est derrière nous invite à capter le reflet d’une génération sous tension dont l’œuvre s’impose comme témoin.

C’est en faveur de cette scène percutante qu’est organisé ce projet, conçu comme élément impulsif du rayonnement de la peinture française à l’étranger, dans un format variable et capable de s’adapter aux différents contextes de ses présentations. L’exposition sera lancée le 27 novembre à Istanbul, capitale culturelle européenne de l’année 2010, et bénéficiera de la visibilité de cette manifestation internationale importante avant de circuler vers Ankara. Viendront ensuite le Lieu Unique à Nantes et un quatrième ou cinquième lieu d’exposition actuellement à l’étude, en Asie ou en Europe, pour terminer par Los Angeles en 2012, sous forme d’un regard croisé avec des jeunes peintres américains de la même génération. Le projet sera en outre l’occasion de prouver une synergie des différents acteurs de l’art contemporain, public ou privé, institutions, artistes et collectionneurs, d’organiser des résidences sur place et de créer des liens durables avec les principaux partenaires locaux. Ainsi « La belle peinture est derrière nous » se présente de façon évidente comme un formidable tremplin pour la promotion et l’exportation de la création contemporaine française, et ouvre de nouvelles perspectives d’échanges et de coopérations, résolument orientées vers l’international.

La qualité de la sélection des artistes est garantie par le choix de professionnels de l’art. Par ailleurs, le soutien de CulturesFrance, de l’Institut Français de Turquie et de collectionneurs privés à ce projet d’exposition est à même de susciter d’autres formes mécénats et d’intéresser critiques et magazines d’art. De plus, les plus prestigieux critiques d’art français et étrangers apporteront leur contribution à ce projet par la rédaction dans le catalogue de textes introductifs au travail respectif de chacun des artistes exposés.